L’image.
L’image de soi, celle que l’on renvoie, celle que l’on perçoit. L’écho des regards. Les griffes ou les caresses, dans les mots des autres, dans nos monologues intérieurs…. leur poids, immense. Ces petits rien qui nous conditionnent tellement.
Les moment où s’habiter est complexe. On ne se reconnaît pas, l’on ne fait pas corps. Parce que l’on a changé, parce que l’on a vécu, traversé, éprouvé, porté, refoulé, …
Dans cet univers de l’image parfaite : redonner un place juste à l’image vraie. Et l’aimer pour ce qu’elle est.